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Channel: Computer Tools – Evren Kiefer
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Lire à l’écran avec un maximum de confort

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Ce billet faisait partie de fabulousse.ch avant d’être rapatrié ici.

Puisque vous nous lisez, il est très probable que vous lisiez aussi d’autres publications en ligne. Je n’approuve pas que vous passiez du temps sur d’autres sites ! Mais bon, c’est comme ça. Tant qu’à faire, autant que vous ne vous fatiguiez pas trop en lisant la prose indigne des autres. La lecture à l’écran est très fatiguante à la longue, notamment parce qu’en général, la résolution est plus basse sur l’écran que sur le papier. Une solution consisterait à imprimer chaque article intéressant que vous trouvez en ligne, mais ce ne serait ni pratique ni écologique.

Readability

La meilleure solution consiste à vous en tenir à mon blog utiliser Readability. Cet outil, dont je ne saurai plus me passer, rend n’importe quelle page sur le web plus lisible. Il s’installe sans problème dans les principaux navigateurs. Une fois l’outil installé, un clic vous suffira  pour supprimer les distractions autour du contenu, changer les couleurs et la police de caractère.

Il se configure en quelques secondes sur ce site et s’installe dans votre barre de marque-pages par simple glissé-déplacé. Une vidéo en anglais est disponible pour vous aider. Pour les moins anglophones, j’ai préparé un petit résumé pour vous permettre de suivre même sans comprendre:

  • Dans une première étape, sélectionnez les options présentées à gauche de votre écran: le style, la taille des caractères et la taille des marges.
  • Puis, dans la seconde et dernière étape, cliquez et déplacez le bouton vers votre barre personnelle.
  • Enfin, rendez-vous sur une page qui vous intéresse (comme un de mes précédents articles) et cliquez sur le bouton Readability pour la rendre claire comme le crystal.

J’espère que vous le trouverez utile. N’hésitez pas à laisser vos remarques, suggestions, etc. dans les commentaires :)


Instapaper, gestionnaire d’articles “à lire plus tard”

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Instapaper est un outil qui a su se rendre lentement indispensable pour moi. Il permet de collecter des articles à lire plus tard et de les stocker dans une liste de lecture sur la simple pression d’un bouton. Je peux ensuite y revenir dès que j’ai un moment de libre. Le service partage la même simplicité d’utilisation que Tumblr. Son créateur, Marco Arment, a été le leader de la programmation de cette plate-forme de blog célèbre.

Instapaper

Il suffit de s’inscrire et de glisser-déplacer le bouton “Lire plus tard” dans la barre de favoris de votre navigateur. Ensuite, il vous suffira de cliquer dessus dès que vous arrivez sur une page que vous voudrez lire plus tard. Quand vous retournez sur le site d’Instapaper, une liste de vos articles est présentée automatiquement. Simple et déjà très utile.

Mais il y a plus. Le service prend tout son sens lorsqu’on a un smartphone ou une tablette. Une application sur l’appareil mobile permet de lire les articles collectés même déconnecté du réseau. Ainsi, dans les transports en commun, je lis les articles que je n’ai pas trouvé le temps de consulter à mon bureau.

N’étant pas consommateur de produits Apple, j’utilise un client non-officiel pour Android et suis limité à ses quelques fonctions de base. Avec un iPhone, la version payante de l’application pour iOS offre des fonctions de partage sur Facebook, Twitter, Tumblr, ainsi que le support des dictionnaires, et d’autres outils rendant la lecture et le partage plus confortables.

L’opportunité Google Plus

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J’entends souvent des amis demander:

«Je suis déjà sur Facebook. Ai-je vraiment besoin de Google Plus ? Et pour quel usage ? Professionnel ?».

Très bonne question ! Google a crée, avec Google Plus, une plate-forme de partage solide qui s’est déjà fait une place dans l’écosystème des réseaux sociaux. Le nouveau service ne se cantonne pas à un seul usage. Vous pourrez créer, dès le début, des cercles de contacts différents pour la famille, les collègues, les connaissances, etc. On peut ensuite les afficher un par un ou tous à la fois. De plus, l’utilisateur a un contrôle total sur la visibilité de chaque publication. Vous pourrez rendre visible un lien à une seule personne, un cercle, ou le web tout entier.

Ainsi, tout dépendra de la structure de vos cercles et de la nature de vos publications. Pour autant que cette distinction ait encore un sens, Google Plus pourrait bien servir pour des contacts professionnels et personnels.

Google Plus, en grandissant, va forcément influencer les autres réseaux sociaux. Ses principaux concurrents sont certainement Facebook et Twitter. Le géant bleu n’a pas de gros soucis à se faire pour le moment. Il n’y aura pas d’exode massif. Dans l’immédiat, l’effet de réseau protège Facebook. Tous mes amis, à de rares exceptions près, ont un compte Facebook et l’utilisent régulièrement. Ainsi, Facebook a plus de valeur pour moi qu’un nouveau réseau dont mes amis sont absents.

Des relations asymétriques

Cependant, il est clair que Google Plus fait des remous dans le monde des réseaux sociaux et oblige Facebook a revoir certains de ces comportements. Google Plus a adopté un modèle de relation asymétrique proche de celui de Twitter. Vous pouvez suivre les publications publiques des utilisateurs sans leur demander leur avis et ils ne sont pas tenus de suivre les vôtres en retour. Jusqu’à présent, Facebook définissait uniquement des relations symétriques. Les liens d’amitié sont établis seulement si les deux personnes donnent leur accord. Dans le cadre de son effort pour pousser ses utilisateurs à être plus public, Facebook a ajouté un modèle de relations asymétriques. On peut maintenant « s’abonner » aux publications des gens sans en faire des « amis ».

Grand salon de partage

Twitter quant à lui, reste un outil de veille incontournable sur lequel il est facile de suivre des centaines, voire des milliers de personnes. Google Plus ne permet pas de suivre des centaines de personnes et des célébrités aussi facilement. Twitter présente les messages dans un ordre chronologique et ne requiert pas de faire attention à chacun d’eux. En revanche, Google Plus classe les messages par importance en prenant en compte les commentaires et les «+1». Les célébrités comme Ashton Kutcher, Britney Spears ou Lady Gaga deviennent donc difficile à suivre sur la plate-forme sociale de Google car les commentaires de leurs nombreux fans font sans cesse remonter leurs publications dans le classement. À cet égard, Google Plus ressemble à un salon de discussion ou une mailing list. Pour que la conversation ait de l’intérêt, il faut que l’équilibre soit maintenu entre les différents participants. Twitter, en revanche, peut être utilisé comme un mégaphone pour diffuser des idées rapidement ou comme une méga-oreille pour faire de la veille à grande échelle.

Google Plus représente une opportunité d’affirmer ses compétences en partageant publiquement des textes, des photos et des liens sans être contraint par la limite de 140 caractères imposée par Twitter. J’ai commencé à l’utiliser pour entrer en contact entres autres, avec des professionnels du web et je compte continuer sur ma lancée. Avec ces quelques indications, vous pourrez expérimenter, vous aussi, sans crainte. Laissez un commentaire qui explique comment vous comptez utiliser le service et l’adresse de votre profil :)

Hotot — Client Twitter pour Ubuntu

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Jusqu’à présent, je me contentais d’utiliser l’application web de Twitter avec les limitations que l’on connaît. Mais je suis tombé par hasard sur Hotot, un client Twitter multi-plateforme qui fonctionne très bien sur ma machine Ubuntu.

Gwibber, le client par défaut sur Ubuntu, ne m’a jamais vraiment paru bien sympathique. Les processus d’installation de Tweetdeck ou de Seesmic Desktop sur Adobe Air n’ont jamais vraiment fonctionné de manière satisfaisante sur ma machine. De plus, Air pour Linux n’est plus pris en charge par Adobe et installer une version obsolète peut s’avérer risqué.

Tout comme Tweetdeck, Hotot permet de voir plusieurs timelines à la fois: c’est très pratique pour suivre ma liste de stratèges de contenu. En outre, et contrairement à d’autres, le programme n’utilise pas trop d’appels à l’API Twitter. Les notifications peuvent être contrôlées de manière très fines ou complètement supprimées.

Le filtrage par mots-clés et par utilisateurs permet d’être notifié à la mention de certaines personnes ou de certains mots. On peut aussi décider de ne plus les afficher du tout. Les mises à jour sont très régulières et Hotot continue de s’améliorer. N’hésitez pas à l’essayer.

TextRoom, un logiciel d’écriture

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Récemment, Openweb a publié un article sur la stratégie de contenu que je leur ai soumis. Et ces quelques derniers jours, entre le défi de retour au blogging et mes ambitions de fiction, j’écris de façon assez soutenue. Sans aller jusqu’à m’inscrire formellement à Nanowrimo, ma vitesse de rédaction grimpe.

Ce rythme de publication quotidien fait des merveilles en ce qui concerne ma cadence d’écriture. Même si d’autres tâches s’accumulent sur la liste des choses «à faire», je reste convaincu que le succès peut se bâtir sur l’écriture et la publication comme je le disais dans ce billet sur le blog communautaire de Paper.li. En d’autres termes, j’applique mes propres conseils et j’espère réussir à maintenir ce rythme.

Le logiciel TextRoom est d’une aide précieuse. Il fait partie des environnements d’écriture sans distractions qui prennent toute la place sur l’écran et aident les rédacteurs à se concentrer sur leurs efforts de création de contenu. Il a quelques fonctions qui le différencie des autres et que j’adore.

  • Premièrement, la fonction «flow» désactive la touche d’effacement du clavier. Elle permet de ne pas se laisser ralentir par son éditeur interne. La seule solution est de taper, taper, taper — toujours en avant.
  • Deuxièmement, le logiciel fait des bruits de machine à écrire. On décrie volontier les interfaces skeumorphes, en ce moment. Dans ce cas, cela rend l’écriture ludique. Le but du jeu étant de faire du bruit sans discontinuer.
  • Troisièmement, on peut définir un objectif d’écriture en nombre de mots ou en minutes. Une barre en bas de l’écran affiche un pourcentage pour informer l’utilisateur de l’état d’avancement de sa tâche.

Une fois un premier jet écrit, il me suffit de le coller dans WordPress et de le relire deux ou trois fois avant d’appuyer sur le bouton «Publier».

Et vous, comment naissent vos billets et comment les éditez-vous avant de les montrer au monde?

Catching up on Pinterest

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I joined Pinterest roughly two weeks ago. The amount of attention Pinterest got from the start didn’t convince me to join. The commentary seemed enough to understand it. Soon, however, iconography in blog posts began to shift. Editors told me to find catchier graphics to appeal to Pinners. I grew more curious of the service’s specific culture. Its recent round of financing and their open positions boosted my confidence in the future of the service and I joined.

Evren Kiefer on Pinterest

The signup process is great. All you have to do is connect your twitter account, choose five things you like and — boom — you’re in. Simple. Although the second step startled me a little bit. I chose four things I liked and started looking for a next button because I wanted to be as specific as possible. However, the interface wants you to choose five things. I clicked around and my contacts from other social networks got mass-followed. The first few sessions, I had to trim down the selection to get what I wanted.

I wonder how long visitors stay engaged and how often they come back. Since the site doesn’t use seem to use many tricks to keep you on, I guess the average visit is shorter than on other social networks. However, since it is useful and versatile, users probably return at similar rates. If someone has data on that, share in the comments, please.

Like on any versatile platform, finding a precise purpose is best. Otherwise, novelty-seeking becomes a goal in itself. The novelty on tap offered by image-centric services can make hours disappear off your day. From the start, my use was going to be very specific. I’ve always been an amateur of architecture and engineering. This interest of mine got only more acute when building in Minecraft. Posting inspiration sources and documentation to Pinterest seemed the perfect way to put the service to use.

So I started boards around the themes of houses and public buildings which soon branched out into other boards. I soon started following city planning and related boards, users followed me back and introduced me to new boards on urbanism. It is a great learning and networking environment!

Writers, how do you organize writing files and papers?

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It’s late, so very late and I am once again desperate for something to publish thanks to the #back2blog challenge.

As I crawl through all the unsorted text files on my computer and through more than forty drafts in WordPress, I say to myself: «That’s crap. That’s not ready. Ah, that’s just a funny title and no more. Oh, I can never publish this». I begin to question the sanity of my process — and my own. Writing is bound to be messy. Some of that will show in the writer’s file organisation, I know. However, there has to be better systems out there.

So, I would like to seize this opportunity to ask you #back2blog participants and other writers how you keep your writing organized.

Many years ago, I’d print out and keep every version of every piece of teenage-angst poetry in a single giant binder. This binder’s subdivisions matched with the folders and subfolders in my computer. The system blew up when puberty hit, I think. I started writing pages upon pages of prose and couldn’t afford all that paper anymore.

In adopting Getting Things Done, I banned grey binders for yellow Manilla folders. Altough my reference material, my financial and other administrative documents are better organized than ever, my writing’s a mess.

If you would be so kind, please, tell me how you do it. In the comments, on your blog, in a private e-mail. Just tell me. If your writing’s messy, how do you cope? And if you have a system to keep your writing under control in your computer and out, how does it work?

Élégie pour Google Reader

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Google Reader va s’arrêter le premier juillet 2013. Cette nouvelle m’a mis de méchante humeur. C’est pô juste.

On dira qu’il y a «pleins d’autres agrégateurs» mais aucun n’a les mêmes fonctions très pratiques. Les raccourcis claviers de Google notamment s’impriment profondément dans le cerveau. Le fait de marquer les articles comme lu lorsque l’on scrolle est une fonction que je n’ai jamais réussi à trouver dans d’autres produits jusqu’ici.

Bien sûr, le nombre limité d’utilisateur et le fait que l’aggrégateur n’offre pas de source de revenus à l’entreprise expliquent cette décision. L’agrégateur n’est ni un projet de science-fiction comme Glass ou les voitures autonomes, ni un projet d’importance stratégique comme Android et encore moins une vache à lait comme AdSense. Cette nouvelle reste très frustrante et inquiétante.

L’arrêt de Google Reader a une portée symbolique. Le service permettait de montrer l’importance que Google accorde à la sauvegarde de RSS en tant que protocole ouvert et libre. Les grands acteurs comme Twitter et Facebook ont depuis longtemps abandonné les flux RSS. Si Google fait de même, que va-t-il advenir de ce format?

Même si l’industrie se tourne vers les «rivières d’information» où la sélection des sources est algorithmique comme le NewsFeed de Facebook, un service d’agrégation «bête» montrant les articles des sources que je sélectionne moi-même et, surtout, qui me les montre tous offre de la valeur pour faire de la veille.

D’après Google, la pétition #SaveGoogleReader restera malheureusement sans effet. Il est temps d’exporter sa liste de flux et de chercher refuge ailleurs. Google Reader, tu nous manquera.


“Read Later” Buttons and Overflowing Buckets

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As Google Reader is going to disappear into the sunset, I started thinking about my inboxes and the pressure I feel to empty them.

“Read Later”, “Watch Later”, and other such buttons each create a new bucket. Since the buttons are easy to push, items get thrown in there and accumulate. They accumulate in silence. None of the buckets ever overflows, the container keeps expanding. Nothing seems to happen but unread counts go up and up. And so does pressure.

I currently have 65 items to read in my Instapaper queue, 13 videos to “watch later” on YouTube and six more on other video services. They are articles, talks and documentaries I should watch or read taking notes. They’re unwatched webseries am afraid to get sucked into. All sorts of stuff in there.

Part of me wants to declare some sort of “time-shifting” bankruptcy, delete the queues and never fill them up again. But I am curious, curious about the world we live in, how it changes and why. Too curious to shut down my tireless online explorations. So, I delete the outdated ones, the ones for which the headline makes no more sense, the ones that were irrelevant all along. I read and watch many, tweet them out and sometimes even take notes.

There may be some spring cleaning to do with my inboxes, especially the “Read Later”/“Watch Later” kind…

Quelques questions à se poser au delà du choix d’un CMS

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Un jour, dans une librairie informatique, une femme s’approche du rayon consacré au web. Hésitante, elle s’approche du libraire et lui dit: «Bonjour, je suis secrétaire dans une petite association et on m’a chargée de créer un site web. Je ne sais pas quel logiciel choisir». Le rayon devant elle était rempli de livre avec des titres — sans aucun doute un peu effrayant comme «HTML & CSS», «Créez votre site avec Joomla», «Bien commencer avec Drupal», etc.

Le libraire reprime un soupir et se lance: «Vous pouvez utiliser Joomla ou Drupal, ils ont une bonne communauté et sont bien documentés même s’ils sont un peu compliqués. Ils offrent toute la flexibilité nécessaire…». La dame continue de regarder autour d’elle avec un air perdu et finit par dire: «J’aimerais vraiment aller au plus simple, je crois que je vais demander à des amis». Le libraire sentait qu’elle allait bientôt tourner les talons et sortir mais ne savait pas comment la retenir.

Je suis intervenu et ai osé un petit: «Ou alors, heu, WordPress, sinon». J’ai relancé la conversation mais j’ai commis une erreur en me focalisant, moi aussi, sur le système de gestion de contenu. Je ne sais pas si elle est repartie avec une pile de livre sous le bras. Je suis sorti peu après. Si je devais hasarder un pronostic: elle est ressortie de cette librairie encore plus confuse.

Cette situation m’a fait réfléchir aux projets webs sans moyens des associations et autres auto-entrepreneurs. Ils pensent souvent ne pas pouvoir faire appel à un professionnel. Souvent, une personne du staff va devoir se retrousser les manches et se lancer dans le monde fascinant de la conduite de projet web.

La plupart du temps, le premier reflexe de personnes non natives du web est de se rendre dans une librairie et d’aller à la section informatique. Malheureusement, les livres généralistes qui traitent de tous le processus: de la définition des besoins, du développement de la stratégie et finalement de la création de sites et autres comptes sur les réseaux sociaux sont trop souvent absents des rayons, semblent trop abstraits et généralistes.

Pourtant, quel que soit la taille du projet, la sélection du CMS ne devrait jamais intervenir en premier. Malheureusement, les rayons des librairies ne donnent pas cette impression: ils sont pleins de livres spécifiquement basés sur les documentations de CMS libres et de technologies aux noms exotiques comme HTML et CSS. Ils encouragent les débutants à se focaliser sur les outils plutôt que de réfléchir en terme de buts, de public et de stratégie.

Avant de vous lancer dans la partie informatique, en choisissant un système de gestion de contenu, une solution hébergée ou autre, faites quelques recherches autour de ces quelques axes:

  • Contraintes. Quelles sont les ressources que votre organisation peut allouer à la communication sur le web? Quelles sont les contraintes légales qui s’appliquent à votre organisation? Les réponses à ces questions définiront les efforts que votre organisation pourra fournir sur le long terme en courant le minimum de risques.
  • Gouvernance et processus de travail. Qui a le pouvoir de décision sur votre présence en ligne? Comment le travail est organisé au sein de l’organisation? En posant ces questions ouvertement, vous démarrerez des discussions salutaires sur la conduite du projet.
  • Les buts de l’organisation. Que voulez-vous accomplir? Quel type de relations souhaitez-vous établir avec vos publics? Comment vos efforts de publication en ligne vous aideront-ils? Pour chaque but, définissez une donnée statistique et trouvez une manière de la mesurer.
  • Les publics cibles. Qui sont-ils? Quelles sont leurs besoins?
  • Le contenu. Quels contenus possédez-vous dans vos brochures, affichettes et autres publications? Est-il adapté? Commencez un audit de contenu en listant chaque morceau de contenu que votre organisation possède et pourrait mettre en ligne.

Votre phase de recherche sera toujours incomplète. Vous pourrez la compléter en cours de route et faire des ajustements. Le fait de vous poser ces questions au début du projet vous mettra dans les meilleures dispositions pour la suite. vous saurez comment compléter ou adapter vos contenus utiles et intéressants. Avec les fruits de votre travail de recherche, vous pourrez approcher un ami, un libraire spécialisé ou un professionnel pour qu’il vous aide à choisir, personnaliser et configuer un système de gestion de contenu puis à le publier enfin sur le web pour le meilleur prix et les meilleures retombées possibles.

Distribuer des magazines digitaux sans intermédiaire

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On se focalise trop sur les quotidiens et les sites de nouvelles lorsque l’on parle du futur de l’édition. Au delà des problèmes rencontrés par les quotidiens, le numérique offre des possibilités intéressantes pour des magazines et d’autres types de contenus spécialisés. Comme je le disais dans «Dessine-moi un magazine digital», le magazine de Marco Arment s’appuie sur les mécanismes de livraison NewsStand d’Apple et une application native.

L’adoption d’HTML5 pourrait bien constituer une approche alternative. Jen Simmons a travaillé sur un prototype de livre disponible directement dans le navigateur pour l’éditeur américain APress. Ce prototype est interactif et il tire avantage des capacités de HTML5 tels que Application Cache et Local Storage, entre autres, pour rester disponible lorsque l’utilisateur n’est plus connecté. Cette approche combine tous les avantages du HTML sans les inconvénients des livres numériques actuels et des applications natives. Adaptée pour des sites de magazine, elle permettrait de s’affranchir de nombreuses contraintes.

Elle est prometteuse sur le plan technique, d’abord. En utilisant HTML, CSS et Javascript, cette solution permet de passer outre les différent formats propriétaires et le manque de respect des standards résultant de la guerre que se livrent les marchands de livres, magazines et liseuses numériques.

Information Overkill

Sur le plan économique, une solution basée sur HTML5 permet de mettre en place ces solutions en utilisant des systèmes de gestion de contenu libres tels que WordPress et des plugins de paiement bon marché. Au lieu de faire appel à des applications et des mécanismes de livraison propriétaires comme News Stand d’Apple ou Whispernet d’Amazon, on utilise les standards ouverts du web et la connexion de l’utilisateur. Cela élimine les intermédiaires les plus gourmands et ne laisse plus que PayPal ou un autre fournisseur de micropaiement tel que Tinypass.

En plus de prendre un pourcentage important sur chaque vente, Apple et Amazon empêchent les éditeurs de consulter les informations liées aux transactions. Une solution mettant les éditeurs et leurs clients en relation directe permet aux éditeurs de prendre des décisions et de proposer des innovations basées sur des données marketing fiables et complètes.

En combinant cette approche HTML5 avec un paywall, les éditeurs pourraient reprendre pleinement le contrôle de leur relation avec les clients. De plus, ils bénéficieraient d’un contrôle plus grand sur l’expérience utilisateur qu’ils leur offrent.

Ce n’est même pas techniquement difficile à réaliser. WordPress offre de nombreuses solutions presque clé en main pour des paywalls ou des micropaiements et supporte pleinement HTML5. Personnellement, je privilégierai les plugins payants Membership et Pay-Per-View car ils ne sont pas liés à des fournisseurs de service spécialisés ou des start-ups dont l’offre peut être amenée à disparaître. Ils passent directement par Paypal.

Les possibilités que ce genre de solution ouvre pour des publications spécialisées ou même pour la littérature m’intéressent beaucoup. Imaginons, par exemple, une fiction sérialisée à plusieurs mains. Les éditeurs pourraient offrir un paiement par épisode et un abonnement annuel. Ou encore une revue en ligne dont une grande partie des contenus seraient payants. La revue littéraire du futur pourrait fonctionner de cette façon.

Crédit Photo: Thomas Leuthard via Compfight cc

Gérer du contenu avec WordPress

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Le 29 mai dernier, j’ai eu le plaisir de co-organiser une présentation sur la gestion de contenu avec WordPress dans le cadre du Geneva WordPress Meetup Group. J’ai d’abord présenté quelques bases théoriques puis Kelly Hungerford, la Community Manager de Paper.li, a raconté l’histoire du Paper.li Community Blog. Elle a eu la gentillesse d’accepter mon invitation et je l’en remercie.

Nos diapositives sont disponibles en HTML. Utilisez les flèches pour naviguer. Le groupe prend des notes lors de chaque rencontre sur TitanPad: celles de notre présentation sont assez complètes.

Je suis content d’avoir eu la chance de faire cette présentation. Une expérience à renouveler.

“Blogging with WordPress” meetup

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Last Tuesday, I was in a blogging workshop presented by Stephanie Booth. She first covered the basics. Her three main points were:

  • Blogs are ante-chronological websites that don’t necessarily need a rigid thematic organisation.
  • They can also encourage communication between the author and the readers when the tone is right.
  • When blogging software came on the scene, these solutions were the first to offer a way to publish on the web without knowing HTML.

Stephanie explained the rationale for blogging. Someone may blog to amass content for themselves and/or document their expertise in public. Both have documented benefits.

She summarized that by listing three main reasons to blog:

  1. Inform
  2. Share
  3. Denounce

We quickly toured a few personal and company blogs. Then, she showed the participants how to create a post and edit it using keyboard shortcuts. She encouraged us to follow along on our own blogs.

I always admired how she seldom touches the mouse while editing. I never took the time to make link-creation keyboard shortcuts into a habit. Part of the problem is that they change for every OS/browser combination. I use three OSes and, at least, two browsers on each. It is a convenient excuse, isn’t it? But anyway… I figured it out for Firefox/Ubuntu: it’s "Start" key + Shift + A. So, I’ll save precious seconds on each link. Thanks, Stephanie :)

We also went through the “Preferences”. There I noticed that my blog’s time zone was set on GMT+1 instead of Zurich which means that it didn’t support daylight savings time as Patricia pointed out. I also realized that nested comments where active. Oh, the horror! I fixed both issues on the spot.

It was, once again, a great evening of WordPress-based conversations. She succeeded in adapting her workshop to our 40 minutes format which was in itself a challenge. Regulars as well as newcomers seemed happy. After the meetup, we had a great time at the restaurant.

Would you care to join us next time?

#BizHeroes chat about curation

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Last month, I had the privilege of co-hosting a #BizHeroes Twitter chat about curation with @SmallRivers and @KDHungerford. We had fun and I learned a lot. The feedback was positive. You can go to the transcript to see how people answered the following questions:

  • Why do you curate content?
  • How do you know when a piece of content is relevant?
  • How can we evaluate content quality?
  • What content do you feel can safely be dismissed? What have you decided not to pay attention to?
  • How do your curation efforts communicate your (or your brand’s) values and does it really elicit trust?
  • What are the most effective tools for content curation?

WordCamp Switzerland in Zürich: Live blog

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The music in the night club downstairs had just died down. People were getting ready to go home after a festive Friday night. Roaming the streets waiting for the bakery to open. Waiting at the station for the first morning train. I, however, was just starting my day.

I had woken up at 4am. The train for the first leg of my trip left at 5:10. I am headed to the WordCamp Switzerland in Zürich, a conference about WordPress scheduled to start at 9. At the time of this writing, I still have half an hour of train and a little tram ride to get there.

Tweets have already started going back and forth. @purzlbaum put together a list of attendees and the hashtag is #wcch.

7:30ish. Arau is grey. I hope it clears and warms up.
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9:00 Opening remarks. Meetups around the country. Zurich. Bern and Geneva.

Live-blog style notes takes during the conference

 

Round-ups and photo galleries

 


I’ll update this post when I can.


Notes from Sara Rosso (@rosso) — Recent Trends in Enterprise WordPress Content

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These are notes taken with my tablet during the “Recent Trends in Enterprise WordPress Content” session at WordCamp Switzerland 2014 and I published them immediately after the talk. You can get a list of all my live-blogging posts of this WordCamp. Beware there may be mistakes, inaccuracies, and other imperfections in all these posts.

Sara Rosso. Content trends on word press
Long form
#longread is trending upwards
Longreads.com website
Long half life online. Shared long after publication.

Quartz. 500-800 words articles have less shares. Than breaking news or long form analysis have more.

Buzzfeed goes long form with BuzzReads

Newsletters are handy for content discovery.
Harvardgazette

Quartz’ daily brief. 70000 subscribers. >40% open rates. Hand crafted newsletters. Editions by geographic area.

USA Today. HBR.

wall street journal’s 10 points.

Micro sites and corporate.
Facebook newsroom. Google ventures. Alberta zmotor association.
Banks are coming to WordPress.

Bata runs on word press.
Coca Cola France runs on WordPress.

Social Media. Content has to be ready to be shared.

NewYorkPost’s Twitter Card.
TED conf blog on Facebook.

Having a picture ups engagement.
LinkedIn brings more and more traffic

Multi Source content.
Snowfall. Impact

Washington Post’s supergrid.

Walking Dead app powered by WordPress.

WSJ STREAMS

Charts and datajournalism.
FiveThirtyEight.com interactive content on Wp VIP.

Comments. Disabled on major publications. Andrew Sullivan’s TheDish.

Quartz have annotations. Attached to paragraphs instead of the whole post.

NYT. reader perspectives curated by editors.

TechCrunch. Facebook comments make things more quiet and better.

Questions. VIP news and the showcase to get more examples. METRO UK.
SEE her WordCamp Europe presentation.

Notes from Andrey (@rarst) Savchenko — Caching small big things

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These are notes taken with my tablet during the “Caching small big things” session at WordCamp Switzerland 2014 and I published them immediately after the talk. You can get a list of all my live-blogging posts of this WordCamp. Beware there may be mistakes, inaccuracies, and other imperfections in all these posts.

Andrey is a techie from Kiev. Very technical talk.

He cares a lot about performance. Caching important for web dev.

People see caching as binary: on or off. Yet its not always full page.

Apdex shows distribution of perf between users. Caching makes or breaks the category of satisfied users.

What is each visit’s potential worth?

Can’t deliver great perf to everyone on a simple scheme with full page caching. Three approaches:

  • HTTP cache,
  • Edge Side Includes,
  • Fragment caching.

Transients API is a great API for fragment caching. Using the API directly, you have to tinker and dev on your own.

TLC TRANSIENTS. wraps transients APi.

Fragment cache (@Rarst plugin). It doesn’t do much. It takes interfacing with WordPress. Needs devs.

What’s SLOW on our sites? Photo of slide upcoming.

Gallery fragment handler hijacks the gallery short code.
Sidebar. Widget fragment handlers.
Menu fragment handler.

Conclusion. Never just “on” caching.
1. Implement
2. Monitor
3. Profit.

Slides. http://rarst.net/slides/caching

Notes from short presentations in Room 1 #wcch

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These are notes taken with my tablet during the short talks session downstairs at WordCamp Switzerland 2014 and I published them immediately after the talks. You can get a list of all my live-blogging posts of this WordCamp. Beware there may be mistakes, inaccuracies, and other imperfections in all these posts.

Loris Grillet — Selling your projects and building the perfect client relationship.

Horrendous complaints about clients.

Present the work well. Create Emotional bond between client and the project.
Carousel scene from Mad Men. Selling a world view, show the process, take the time to tell a story.

Explain. Don’t be afraid to show just one option,
Steve jobs about Paul Rand and the NEXT logo.

Jenny Beaumont — Case study: Custom digital downloads, an extension for WooCommerce.

Client needed to sell PDF that are customisable. Customers can personalise paper products for weddings. Flash wasn’t an option.

Review of competition.

Working with SVG. Job bigger than she imagined. With @Rarst, she created the plugin for WooCommerce.

Front-end is pretty simple. Interactive and immediate.

Output is a classic downloadable of Woo.

Patricia Brun Torre — WordPress hyperlocal community

Finding your community is an issue. She misses a place where she can share with her neighbours. The official commune website can’t offer interactivity.

Plans on Building a Buddypress community to ask her neighbours what they need. Once she has a Versoix version, she can replicate the site in other towns.

She wants to pass down her children’s clothes to her neighbours and finds place to do it.

Photo.

Getting local classified as as well.

Plans on provide the services to other locales.

She loves to work alone. Doesn’t want to get involved with the local government. Website of the people for the people.

Notes from Stephanie Booth — Multilingual blogging

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These are notes taken with my tablet during the “Caching small big things” session at WordCamp Switzerland 2014 and I published them immediately after the talk. You can get a list of all my live-blogging posts of this WordCamp. Beware there may be mistakes, inaccuracies, and other imperfections in all these posts.

Having more than one language on a webpage isn’t dirty.
Multilingualism is more common than we might think.
She gave a talk about this in 2007 at ETH Zurich.

Internet is the best space cruncher. Distance isn’t the barrier. Language becomes the barrier that separate people. In terms of content, linguistics borders are more important than political borders.

Three strategies are possible to bridge these

1. Translating everything — very hard and
bilingualism != translator

Example. Creation of Pompage.net and the pain of translation of “to hell with bad browser”.

She started with Blogger which makes things easy. Translation takes away from the spontaneous nature of blogging.

2. Splitting blogs. A blog for each language.

Difficult because bilinguals tend to use the majority language such as support forums. Bilingual brain drain.

3. Mixing it up.
Resistance is big. Because monolinguals would be hurt. Because it is bad for SEO.

There are no monolinguals and SEO isn’t that important. Write and stop worrying about SEO.

Mixing languages is easy for the blogger and the reader.

However skimming is hard in a language that you don’t fully master. Basic Bilingual plugin. Prefacing French posts with an English summary. Claude Vedovini who is a more competent coder rewrote the plugin a few months ago.

Questions
Mixing topics is a strategic decisions.
Would people move on and would you loose audience when they see that its in another language. This doesn’t really matter.

Examples shown by Stephanie.
Swiss Cats Blog — translated
Swiss Vibes — mixed
Vedovini.net uses Basic Bilingual

 

Update 9/5: Stephanie’s prezi presentation

Notes from Vitaly Friedman — Delightful UX: Little Details Matter

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These are notes taken with my tablet during the “Delightful UX: Little Details Matter” session at WordCamp Switzerland 2014 and I published them immediately after the talk. You can get a list of all my live-blogging posts of this WordCamp. Beware there may be mistakes, inaccuracies, and other imperfections in all these posts.

Vitaly Friedman is editor-in-chief  and cofounder of SmashingMag. He loves beautiful content.

Artyping. Design with characters. Separators cones with type. Then pictures. Late nineteenth century.

Teletext. Invented by Phillips and the BBC. Pre internet. BBC people had to design Teletext screens.

Outline of cities and the ancestors of ASCII art. Then the internet happened.

TV guide (1953). With the advent of teletext, they created structured content and prepared for all the future channels.

Now teletext is available on the web and apps. It makes sense in terms of performance. Its text. Without the web, we would all be teletext designers.

Design a good URL. Make them into sentences. like Github. Clearleft.
Gov.UK.

Gov.UK wanted to get the answers citizens were looking for in the excerpt that Google provides.

Create the perfect and consistent Underline. Medium. Com spent  6 months researching this.

download attributes on links.
Data attributes for number of comments or length of the video.
Favicon with badges and other things.
Slide in and out panel for searching and filtering.
Default avatars with personality and niceness.

Mobile input UX is horrendous. Too many input fields.

Boingo redesign.
Dropdowns move towards sliders.
Placeholders moving from inside the field to the top.
Password fields .
Country selector.

On Yelp, you can use Emoji for search.

Branded Interactions.
RyanAir = Pain < value.
Delightful UX + value > pain.

Hipmunk. Takes preferences into account.

Stripe. Animations in interfaces makes you feel better.

Create stuff for FUN.

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